Croyances, rites, institutions. Tome 2: Questions de méthode et d'origines, Hiérologie

Comte Goblet d'Alviella

Published by Librairie Paul Geuthner, 1911
Used Couverture souple

From Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France Seller rating 4 out of 5 stars 4-star rating, Learn more about seller ratings

AbeBooks Seller since 25 March 2024

This specific copy is no longer available. Here are our closest matches for Croyances, rites, institutions. Tome 2: Questions de méthode et d'origines, Hiérologie by Comte Goblet d'Alviella.

About this Item

Description:

Fort in-8 broché, 412pp. Une petite tâche en couverture, sinon très bel exemplaire, non coupé. Eugène Félicien Albert1 Goblet d'Alviella (Bruxelles 10 août 1846 - 9 septembre 1925) est un homme politique belge et professeur d'histoire des religions à l'ULB, membre du parti libéral. Il est le fils de Louis Goblet et le petit-fils du général Albert Goblet d'Alviella. Il meurt à Bruxelles le 7 septembre 1925, renversé par une automobile avenue Louise. Après des études secondaires à Bruxelles et au lycée Louis-le-Grand à Paris, d'Alviella fit des études universitaires à l'ULB de 1865 à 1870. Il est notamment docteur en droit, en philosophie et lettres et en sciences politiques. Il fut initié en Franc-maçonnerie en 1868, dans la loge "Les Amis philanthropes" à Bruxelles. Il en fut le Vénérable Maître de 1879 à 1882. En 1894, après une querelle sur la création d'une "Université nouvelle", la loge des "Amis philanthropes" se scinde. Le 15 janvier 1895, d'Alviella est élu Premier Vénérable Maître de la nouvelle loge "Les Amis philanthropes n° 2", qui réunit les libéraux conservateurs, tandis que les libéraux progressistes gardent le nom de loge des "Amis philanthropes". En 1900, il devient Grand Commandeur du REAA En 1875-1876, alors correspondant d'un journal bruxellois, il accompagne le Prince de Galles dans un voyage en Inde et profite de l'occasion pour confronter ses idées théoriques sur la religion à la réalité locale. Le 5 mars 1909 il devient membre de la loge de recherche Quatuor Coronati de la De formation catholique, il a épousé Margaret Alice Packard (1857-1946)5,6 et son mariage comme la naissance de ses enfants furent célébrés dans le rite chrétien protestant unioniste[Quoi ?]. Dans son testament philosophique il manifeste d'une part sa ferme volonté de mourir dans les principes du rite (maçonnique) écossais ancien accepté (REAA) et d'autre part il consent, si sa femme le désire, a ce que ses funérailles soient célébrées selon le rite protestant une fois sa dépouille incinérée7. Sa dépouille mortelle fut d'abord incinérée au crématorium du père Lachaise à Paris et ses cendres inhumées dans la crypte du mausolée Goblet d'Alviella au cimetière stéphanois, oeuvre de l'architecte Adolphe Samyn et dont Eugène Goblet est le concepteur. Le rite funéraire protestant libéral fut accompli le 15 septembre 1925, après son incinération, à sa maison mortuaire, l'Hôtel Goblet de la rue Faider à Saint-Gilles-lez-Bruxelles. De 1884 à 1914 il enseigne l'histoire des religions à l'Université libre de Bruxelles. De 1896 à 1898 il est recteur de cette même université. En 1919, il devient professeur honoraire et il est nommé membre permanent du conseil d'administration de l'ULB. Il fut aussi président de la Société royale belge de géographie et publia un grand nombre d'ouvrages ayant pour thème le pacifisme, l'économie ou encore le symbolisme maçonnique (il est notamment à l'origine de nouveaux hauts grades maçonniques). On lui doit surtout la création des cours d'histoire des religions à l'Université libre de Bruxelles. Son ouvrage La Migration des symboles le rendit célèbre dans ce domaine. En 1892 Il fut invité à faire des exposés à l'université d'Oxford dans la cadre des "Hibbert Lectures". Son intérêt pour les religions du monde ne l'empêcha pas de détruire en 1919 la chapelle forestière de la Quenique, dite aussi Calvaire de la Quenique10 érigée sur un tumulus en 1804 par Joachim Liboutton. Il s'y trouvait un christ en bois sculpté et des statues de la Vierge et de Saint Jean, objets d'une piété intense dans les jours de fête, de calamité ou de deuil11. La même année il doit affronter "l'Affaire Dwelshauvers" et la contestation liée à la présence d'Elisée Reclus au sein de l'ULB. Seller Inventory # NSAR55484

Report this item

Bibliographic Details

Title: Croyances, rites, institutions. Tome 2: ...
Publisher: Librairie Paul Geuthner
Publication Date: 1911
Binding: Couverture souple
Condition: Très bon
Edition: Edition originale

Top Search Results from the AbeBooks Marketplace

Seller Image

Comte Goblet d'Alviella
Published by Librairie Paul Geuthner, 1911
Used Couverture souple First Edition

Seller: PRISCA, Paris, France

Seller rating 4 out of 5 stars 4-star rating, Learn more about seller ratings

Couverture souple. Condition: Très bon. Edition originale. Fort in-8 broché, 412pp. Une petite tâche en couverture, sinon très bel exemplaire, non coupé. Eugène Félicien Albert1 Goblet d'Alviella (Bruxelles 10 août 1846 - 9 septembre 1925) est un homme politique belge et professeur d'histoire des religions à l'ULB, membre du parti libéral. Il est le fils de Louis Goblet et le petit-fils du général Albert Goblet d'Alviella. Il meurt à Bruxelles le 7 septembre 1925, renversé par une automobile avenue Louise. Après des études secondaires à Bruxelles et au lycée Louis-le-Grand à Paris, d'Alviella fit des études universitaires à l'ULB de 1865 à 1870. Il est notamment docteur en droit, en philosophie et lettres et en sciences politiques. Il fut initié en Franc-maçonnerie en 1868, dans la loge "Les Amis philanthropes" à Bruxelles. Il en fut le Vénérable Maître de 1879 à 1882. En 1894, après une querelle sur la création d'une "Université nouvelle", la loge des "Amis philanthropes" se scinde. Le 15 janvier 1895, d'Alviella est élu Premier Vénérable Maître de la nouvelle loge "Les Amis philanthropes n° 2", qui réunit les libéraux conservateurs, tandis que les libéraux progressistes gardent le nom de loge des "Amis philanthropes". En 1900, il devient Grand Commandeur du REAA En 1875-1876, alors correspondant d'un journal bruxellois, il accompagne le Prince de Galles dans un voyage en Inde et profite de l'occasion pour confronter ses idées théoriques sur la religion à la réalité locale. Le 5 mars 1909 il devient membre de la loge de recherche Quatuor Coronati de la De formation catholique, il a épousé Margaret Alice Packard (1857-1946)5,6 et son mariage comme la naissance de ses enfants furent célébrés dans le rite chrétien protestant unioniste[Quoi ?]. Dans son testament philosophique il manifeste d'une part sa ferme volonté de mourir dans les principes du rite (maçonnique) écossais ancien accepté (REAA) et d'autre part il consent, si sa femme le désire, a ce que ses funérailles soient célébrées selon le rite protestant une fois sa dépouille incinérée7. Sa dépouille mortelle fut d'abord incinérée au crématorium du père Lachaise à Paris et ses cendres inhumées dans la crypte du mausolée Goblet d'Alviella au cimetière stéphanois, oeuvre de l'architecte Adolphe Samyn et dont Eugène Goblet est le concepteur. Le rite funéraire protestant libéral fut accompli le 15 septembre 1925, après son incinération, à sa maison mortuaire, l'Hôtel Goblet de la rue Faider à Saint-Gilles-lez-Bruxelles. De 1884 à 1914 il enseigne l'histoire des religions à l'Université libre de Bruxelles. De 1896 à 1898 il est recteur de cette même université. En 1919, il devient professeur honoraire et il est nommé membre permanent du conseil d'administration de l'ULB. Il fut aussi président de la Société royale belge de géographie et publia un grand nombre d'ouvrages ayant pour thème le pacifisme, l'économie ou encore le symbolisme maçonnique (il est notamment à l'origine de nouveaux hauts grades maçonniques). On lui doit surtout la création des cours d'histoire des religions à l'Université libre de Bruxelles. Son ouvrage La Migration des symboles le rendit célèbre dans ce domaine. En 1892 Il fut invité à faire des exposés à l'université d'Oxford dans la cadre des "Hibbert Lectures". Son intérêt pour les religions du monde ne l'empêcha pas de détruire en 1919 la chapelle forestière de la Quenique, dite aussi Calvaire de la Quenique10 érigée sur un tumulus en 1804 par Joachim Liboutton. Il s'y trouvait un christ en bois sculpté et des statues de la Vierge et de Saint Jean, objets d'une piété intense dans les jours de fête, de calamité ou de deuil11. La même année il doit affronter "l'Affaire Dwelshauvers" et la contestation liée à la présence d'Elisée Reclus au sein de l'ULB. Seller Inventory # 10401

Contact seller

Buy Used

£ 42.13
Convert currency
Shipping: £ 12.39
From France to U.S.A.
Destination, rates & speeds

Quantity: 1 available

Add to basket