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MARCEAU 1769 - 1796 Par Paul RIVAL EDITIONS GALLIMARD, NRF, 1938 EPUISE EN LIBRAIRIE, BROCHE, format 12*18.5 cm, 276 PAGES COUVERTURE ILLUSTREE François Séverin MARCEAU-DESGRAVIERS dit MARCEAU, ayant quelque instruction et travaillant comme clerc chez un Procureur, s engage en 1785 dans le Régiment d Angoulême (34eme d Infanterie). En juillet 1789, acquit aux idées nouvelles, il participe à la prise de la Bastille. Il quitte alors son régiment et s engage dans la Garde Nationale de Chartres ou la première levée de volontaires le voit nommer capitaine, puis bientôt Adjudant Major et Lieutenant-colonel des volontaires d Eure et Loir à la tête desquels il participe à la défense de la Place de Verdun assiégée par les Prussiens. Après la capitulation de cette ville il demande à passer dans l armée régulière au sein de la cavalerie comme simple lieutenant, ce qui lui est accordé. Il est envoyé en Vendée insurgée ou, après quelques mésaventures liés à son affectation à la Légion germanique soupçonnée d abriter des contre-révolutionnaires, MARCEAU est nommé capitaine et commence à si bien se distinguer dans tous les combats, Saumur, Luçon, Chantonnay, Cholet, etc., qu il ne tarde pas à être nommé général de brigade, puis de division en novembre 1793 à 24 ans. Vainqueur au Mans et à Savenay avec KLEBER, MARCEAU, qui se signale par son humanité, fait son entrée à Nantes en décembre 1793 et cède le commandement en chef de l Armée de l Ouest qu il assumait par intérim à son titulaire désigné, le sinistre TURREAU, avec lequel il a une grave altercation. En 1794 MARCEAU est général de division à l Armée de Sambre et Meuse commandée en chef par JOURDAN et assume le commandement de l aile droite à la bataille de Fleurus ou il défend une position difficile et décide de la victoire. Il s empare ensuite de Coblence et rejette les forces ennemies sur la rive droite du Rhin. Durant la campagne de 1796 MARCEAU bloque Mayence et couvre la retraite de l armée de JOURDAN engagée concurremment et imprudemment avec l armée de MOREAU en direction de Vienne. Réduit à la défensive, manquant d effectifs et recevant des ordres contradictoires , MARCEAU s acquitte fort bien de sa difficile tâche et devine la trahison de PICHEGRU. La population de Trêves et de sa région, ou séjourne MARCEAU, rend hommage à son équité et à sa grande intégrité dans l administration des contrées placées sous son autorité pendant les opérations. MARCEAU est touché par la balle d un chasseur tyrolien lors d un combat d arrière-garde à Altenkirchen et meurt à 28 ans deux jours plus tard le 19 septembre 1796, veillé et honoré par ses ennemis qui traitent ensuite sa dépouille avec le plus grand respect et lui rendent les honneurs militaires BIOGRAPHIE D UNE DES FIGURES MILITAIRES LES PLUS EMBLEMATIQUES DES ARMEES DE LA REVOLUTION LE GENERAL MARCEAU Coiffes et coins plats un peu touches , tranche dorsale un peu pliee, plats un peu passes, autrement ASSEZ BON ETAT, Assez Bonne Apparence - NON REEDITE en francais a l'heure actuelle ***** ATTENTION ! ! A PARTIR DU 1er JUILLET, LE TARIF ECONOMIQUE LIVRE ET BROCHURE N'EXISTE PLUS. ENVOI A L'INTERNATIONAL EN TARIF COURRIER OU COLISSIMO, BEAUCOUP PLUS ONEREUX.
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