Ce livre historique peut contenir de nombreuses coquilles et du texte manquant. Les acheteurs peuvent généralement télécharger une copie gratuite scannée du livre original (sans les coquilles) auprès de l'éditeur. Non référencé. Non illustré. 1809 edition. Extrait: ...des fleurs et des fruits. La première espèce, qui est la plus commune, se tient ordinairement en troupes; on' ne voit les oiseaux des autres espèces, que seuls ou par paires, plutôt parce qu'elles sont moins nombreuses en individus, que par un manque d'instinct social. Tous ont, proportion gardée t le corps plus alongé que les lindos, la tête plus petite, la physionomie plus animée, le bec plus court, affilé, pointu et conique, la queue plus étroite et moins carrée. Ils sont plus petits, et, à en juger par leur bec et sa force, ils peuvent casser des grains; mais comme ils ne les recherchent pas, et qu'ils ne quittent pas le haut des arbres verts, je crois qu'ils ne vivent pas de petites graines. Leur vol est très,-rapide. N. CII. LE BEC-EN-POINÇON JAUNE, A AUBE NOIRE.' J'ii vil an Paraguay une grande quantité d'oiseaox de. cette espèce, et j'en ai eu plusieurs; mais j'ignpre s'ils se trouvent également à la rivière de la Plata. 1 Plusieurs rapprochemens, accompagnés de discussions, ont Heu dans l'ouvrage de M. d'Azara, au sujet de cet oiseau que cet amour compare, i. au-petit cul-jaunc de Cayenne (Buffon, tom. v, pag. 34d. Oriolus Dominicensis Linn. Oriolus xan thornus Latli.); et pour que les dissemblances qui séparent ce tnupiale du bec-en-poinçon jaune, à barbe noire, ne soient point un obslacle à leur réunion, M. d'Azara suppose que Guenau le Montbeillard a été induit en erreur sur les habitudes du petit cul-jaune, et que ae deux oiseaux d'espèce différente, il en a composé un qui n'existe pas. L'on sent combien de...
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