Maréchal Suchet by Hulot Frédéric (4 results)

Condition: Neuf.

Paperback. Condition: Brand New. 288 pages. French language. 9.45x5.98x0.87 inches. In Stock.

Paperback. Condition: NEUF. Parcours de Louis-Gabriel Suchet (1770-1826), officier supérieur que Bonaparte maintient volontairement dans des fonctions subalternes, n'appréciant pas sa manière de commander. C'est en Espagne, avec son mariage à une nièce de Joseph Bonaparte, qu'il est placé à la tête d'un commandement important et c'est le seul des maréchaux de Napoléon à obtenir des succès durables. - Nombre de page(s) : 1 vol. (284 p.) - Poids : 360g - Langue : fre - Genre : Biographies historiques.

Couverture souple. Condition: Bon. Edition originale. LE MARECHAL SUCHET Louis Gabriel SUCHET, Maréchal de l Empire, Duc d ALBUFERA 1770 - 1826 Par Frédéric HULOT EDITIONS PYGMALION, 2009 FORMAT IN-8, BROCHE, 286 PAGES. BIBLIOGRAPHIE Fils d un important soyeux lyonnais, Louis Gabriel SUCHET fut formé par son père pour lui succéder à la tête de son entreprise. Les risques que la Révolution fit courir aux membres de la grande bourgeoisie lyonnaise l incitèrent à s engager dans l Armée en 1793 au 4° Bataillon des Volontaires de l Ardèche. D emblée élu officier supérieur dans ces unités de volontaires SUCHET assista au siège de Toulon ou il fit la rencontre du Capitaine, bientôt Général, BONAPARTE. Il prit ensuite part à la Campagne d Italie et fit montre de grande capacité de commandement sous l autorité de MASSENA lors du siège de Gênes. En 1798 il fut nommé Général de Brigade et chef d État major de l Armée d Italie. En 1799 il commanda une brigade à l Armée d Helvétie puis fut nommé Général de Division et de nouveau chef d État major puis Commandant de l aile gauche de l Armée d Italie. En 1800 il fut promu Général de Division et défendit la ligne de l est du Var. en 1805 il commanda une division du Corps de SOULT puis du Corps de LANNES. En 1807 il commanda le 5° Corps de la Grande Armée et fut fait Comte de l Empire. Cependant BONAPARTE - qui semble t il se méfiait de lui ou n appréciait pas sa façon rationnelle de commander - le maintint dans des fonctions relativement subalternes pendant plusieurs années au contraire de ses camarades LANNES, SOULT, DAVOUST ou NEY. SUCHET continua pourtant à servir fidèlement et brillamment dans tous les commandements qu on voulu bien lui confier. Grâce à son mariage avec une nièce de JOSEPH BONAPARTE, Roi d Espagne, il fut enfin placé à la tête d un important commandement, le 3° Corps d Armée, sur ce difficile théâtre d opérations ou s usaient et mouraient, sous le commandement erratiques de Maréchaux et de Généraux qui se détestaient, d innombrables troupiers de l Empereur. SUCHET donna en Espagne le meilleur de lui-même tant par ses qualités purement militaires lors de multiples batailles en rase campagne et sièges en règles de places fortes, que par ses méthodes intelligentes d administration des territoires et des populations espagnols conquis et pacifiés sous son commandement. Il fut le seul des grands chefs français à avoir obtenu des succès durables en Espagne et à y avoir laissé une image finalement plutôt positive auprès de ses ennemis. L Empereur ne s y trompa pas, qui tout en lui refusant tous moyens supplémentaires, récompensa SUCHET en 1811 par la distinction de Maréchal de l Empire, en 1812 par le titre de Duc d ALBUFERA, en 1813 par le titre honorifique de Colonel Général de la Garde Impériale, en 1815 par la nomination à la Chambre des Pairs . En 1814 SUCHET commandera l Armée du Midi ramenée quasi-intacte d Espagne en France, puis en 1815, aux Cent Jours, l Armée des Alpes. Disgracié et mis à la retraite par la Restauration SUCHET sera de nouveau nommé à la Chambre des Pairs en 1819 avant de mourir prématurément, probablement d un cancer, en 1826. Homme probe, droit, honnête, ouvert aux idées libérales dès avant la Révolution, éduqué de la meilleure façon, remarquable soldat, administrateur avisé, et, ce qui ne gâte rien, excellent mari le Maréchal SUCHET fut un soldat et un chef original qui, comme son camarade GOUVION SAINT CYR, reçu trop tardivement la reconnaissance de ses talents exceptionnels et un grand commandement de la part d un NAPOLEON qui n appréciait pas du premier coup les personnalités aux méthodes trop indépendantes. A Sainte-Hélène NAPOLEON consulté par O MEARA sur qui avait été son meilleur général répondit sans hésiter: SUCHET. Biographie d un des meilleurs généraux de NAPOLEON qui s illustra particulièrement lors de la Guerre d Espagne de.