Product Type
Condition
Binding
Collectible Attributes
Free Shipping
Seller Location
Seller Rating
Published by Editions G.P, 1964
Seller: Librairie Et Cætera (et caetera) - Sophie Rosière, Belin-Béliet, France
Book
Couverture rigide. Illustrations de Pierre Leroy. (illustrator). Livre en français. Adaptation de Jean Sabran. Illustrations de Pierre Leroy. Bibliothèque Rouge et Or. Souveraine. Cartonnage de l'éditeur. 192 pages. Jaquette. Après 1960. Livre.
Seller: Frederic Delbos, Lussan, OC, France
Collection "Rouge et Or" n°38, 1950. Format 15x21 cm, reliure editeur sous jaquette illustree.Tres bon etat.
Published by Hachette Livre Bnf, 2016
ISBN 10: 2013577346ISBN 13: 9782013577342
Seller: Lucky's Textbooks, Dallas, TX, U.S.A.
Book
Condition: New.
More buying choices from other sellers on AbeBooks
New offers from £ 13.74
Published by Editions G.P, 1960
Seller: Librairie Lire et Chiner, Colmar, ALSAC, France
Condition: TBE. Paris, cartonnage de l'éditeur; in-8, 191 pp. Très bon état avec sa jaquette - illustrations de Pierre Leroy - 38e vol de la collection.
Published by Forgotten Books, 2018
ISBN 10: 133314671XISBN 13: 9781333146719
Seller: Forgotten Books, London, United Kingdom
Book Print on Demand
Paperback. Condition: New. Print on Demand. Excerpt from Temps, Espace, Matià re. About the Publisher, Forgotten Books publishes hundreds of thousands of rare and classic books. This book is a reproduction of an important historical work. Forgotten Books uses state-of-the-art technology to digitally reconstruct the work, preserving the original format whilst repairing imperfections present in the aged copy. In rare cases, an imperfection in the original, such as a blemish or missing page, may be replicated in our edition. We do, however, repair the vast majority of imperfections successfully; any imperfections that remain are intentionally left to preserve the state of such historical works. This text has been digitally restored from a historical edition. Some errors may persist, however we consider it worth publishing due to the work's historical value. The digital edition of all books may be viewed on our website before purchase. print-on-demand item.
Published by Hachette Livre Bnf, 2017
ISBN 10: 2012732135ISBN 13: 9782012732131
Seller: Lucky's Textbooks, Dallas, TX, U.S.A.
Book
Condition: New.
More buying choices from other sellers on AbeBooks
New offers from £ 18.80
Publication Date: 2023
Seller: True World of Books, Delhi, India
Book Print on Demand
LeatherBound. Condition: New. LeatherBound edition. Condition: New. Reprinted from 1923 edition. Leather Binding on Spine and Corners with Golden leaf printing on spine. Bound in genuine leather with Satin ribbon page markers and Spine with raised gilt bands. A perfect gift for your loved ones. NO changes have been made to the original text. This is NOT a retyped or an ocr'd reprint. Illustrations, Index, if any, are included in black and white. Each page is checked manually before printing. As this print on demand book is reprinted from a very old book, there could be some missing or flawed pages, but we always try to make the book as complete as possible. Fold-outs, if any, are not part of the book. If the original book was published in multiple volumes then this reprint is of only one volume, not the whole set. Sewing binding for longer life, where the book block is actually sewn (smythe sewn/section sewn) with thread before binding which results in a more durable type of binding. Pages: 286 Auda, Antoine,Ruhl, Gustave. Eglise Saint-Joseph a Verviers en 1912,Leroy, Stephen. Sieges fameux de Bouillon.
Seller: Librería La Candela, Murcia, MURCI, Spain
.- París. 1958. Albert Blanchard. 4º menor. VI- 290 pgs. Rústica editorial . Muy buen estado. . . Física / Matemáticas.
Published by Crown Publishers, New York, New York, 1987
ISBN 10: 0517646056ISBN 13: 9780517646052
Seller: Andover Books and Antiquities, Andover, MA, U.S.A.
Book
Hardcover. Dust Jacket Condition: Very good. Park Lane. 386 pp. Very good condition; a few chips in color surface of inside covers and adjoining pages; edges of papers are moderately yellowed.
Published by LIBRAIRIE GERMER BAILLIERE 5 FEV 1881, 1881
Magazine / Periodical
Pas de couverture. Condition: bon. R110032104: 5 FEV 1881. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 161 à 192. Lecture en colonnes. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues.
Faute davoir trouvé un éditeur, cette chanson fut publiée à compte dauteur par Gustave Leroy. Elle déplut tellement à Louis-Napoléon Bonaparte, alors Président de la République française quelle valut à son auteur un procès en cour dAssises, une condamnation à 300 fr. damende et six mois de prison ferme à la prison des Madelonnettes. Elle ne fut jamais réimprimée.Cette chanson évoque le bal donné au Palais de l'Élysée par le Prince-Président, tandis quon prépare l'exécution de deux des insurgés de Juin 1848 : « Quel bal brillant, quelle lugubre scène ! / Contraste affreux. / le rire et la douleur. / Le président entre au bal. quelle aubaine, / Les patients ont vu lexécuteur ! / Le couteau tombe. il sépare, il écarte / Le chef du tronc. / le sang jaillit tout noir ! / Et vient tacher le front de Bonaparte. / A lElysée on dansera ce soir ! ».
Published by Beaulé et Maignand, Imp. rue Jacques de Brosse, 8., 1848
Seller: PRISCA, Paris, France
First Edition
Couverture souple. Condition: Bon. Edition originale. In-4° broché, 2 pages. Chanson à la gloire des communards de 1848 - Eugène Baillet écrit en 18791 : Ce chansonnier fut incontestablement un des plus populaires de notre temps. De 1842 à 1860, les guinguettes, les ateliers et la rue retentirent de ses refrains. C'est en 1843 que je vis Gustave Leroy pour la première fois. C'était un beau garçon de 25 ans, de taille moyenne ; une moustache roussâtre, soigneusement peignée, ornait son visage brun, encadré de cheveux châtains qui touchaient ses épaules; son oeil bleu et doux ne s'allumait que quand il chantait. Sa voix était un peu sourde, mais il tirait parti de ce défaut et s'en servait pour produire des effets ; nul ne tirait parti de ses chansons comme lui ; il scandait bien ses vers et soulignait admirablement. Gustave Leroy fréquentait assidûment les sociétés chantantes de Belleville et de Ménilmontant, où il n'apparaissait qu'en habit, ce qui était d'autant plus remarquable que les ouvriers de ce temps-là portaient presque tous la blouse, même le dimanche. Il était alors ouvrier brossier ; la poésie n'était pour lui qu'une distraction, bien qu'il l'aimât passionnément ; jamais il n'avait fait imprimer une ligne. Il mettait en couplets les sujets les plus variés, mais pas de chanson sans une pointe politique; on sentait qu'il y avait là une nature, un tempérament de vrai chansonnier populaire. Une seule chanson de lui avait été livrée au public, mais sans son consentement, ce qui ne l'empêchait pas d'être chantée partout ; elle se nommait la Petite Javotte - En 1849, Leroy publia lui-même, n'ayant pas trouvé d'éditeur, Le Bal et la Guillotine. Le parquet de M. Bonaparte ne trouva pas l'oeuvre de son goût et condamna son auteur, en cour d'assises, à 300 fr. d'amende et six mois de prison, qu'il fit aux Madelonnettes. Cette chanson n'a jamais été réimprimée. Gustave Leroy était d'une nature très-douce et aussi inoffensive que ses vers étaient rugueux. L'homme était même chez lui très-faible, facile à entraîner. Ses chansons, malgré leur popularité, ne l'ont pas empêché de vivre continuellement dans un état voisin de la misère. Il avait perdu le goût du travail bien qu'il eût pour compagne une courageuse femme dont l'exemple pouvait le sauver. Ah ! l'habit noir de 1843, qu'il était loin ! Il avait fait place à la vareuse d'abord grise, puis rousse, puis d'une couleur inconnue qu'il portait l'hiver et l'été depuis plus de dix ans quand il mourut. Leroy, sans avoir reçu une instruction soignée, avait cependant été partagé de ce côté mieux que la plupart des enfants du peuple. Sa mère qui avait été longtemps employée dans les théâtres, avait pour amie Mme Saqui, la célèbre danseuse de corde. Cette dernière se chargea de faire élever le jeune Gustave, qui n'a jamais eu de père légal ; il fut mis en pension à Versailles où il resta jusqu'à l'âge de seize ans. En vieillissant, le chansonnier avait épuré son style et modifié sa forme ; ses dernières chansons sont mieux écrites que leurs aînées, la phrase est plus correcte, plus claire, l'écrivain se révélait. Recueillera-t-on jamais les oeuvres de Gustave Leroy ? c'est peu probable. Il a bien écrit quatre cents chansons. Pingray, un membre de la Lice Chansonnière, en a réuni plus de deux cents et s'en est fait un beau volume qui sera très-recherché un jour. Gustave Leroy mourut à l'hôpital Saint-Louis le 14 avril 1860, des suites d'une chute qu'il fit dans une maison en construction. La rampe de l'escalier n'était pas encore posée ; il monta au deuxième étage, et, pour appeler un ami qui travaillait aux étages supérieurs, il se fit un porte-voix de ses deux mains en levant la tête ; puis, pris d'un étourdissement subit, il tomba dans la cour. On le transporta chez lui, où il resta plusieurs jours. Il souffrait peu, mais le médecin déclara qu'il était en danger, et on le conduisit à l'hôpital où il resta près d.
Published by (Paris) : Impr. de Beaulé et Maignand, 1849
Seller: PRISCA, Paris, France
First Edition
Couverture souple. Condition: Très bon. Edition originale. In-4° broché, 2 pages. Chanson à la gloire des communards de 1848 - Eugène Baillet écrit en 18791 : Ce chansonnier fut incontestablement un des plus populaires de notre temps. De 1842 à 1860, les guinguettes, les ateliers et la rue retentirent de ses refrains. C'est en 1843 que je vis Gustave Leroy pour la première fois. C'était un beau garçon de 25 ans, de taille moyenne ; une moustache roussâtre, soigneusement peignée, ornait son visage brun, encadré de cheveux châtains qui touchaient ses épaules; son oeil bleu et doux ne s'allumait que quand il chantait. Sa voix était un peu sourde, mais il tirait parti de ce défaut et s'en servait pour produire des effets ; nul ne tirait parti de ses chansons comme lui ; il scandait bien ses vers et soulignait admirablement. Gustave Leroy fréquentait assidûment les sociétés chantantes de Belleville et de Ménilmontant, où il n'apparaissait qu'en habit, ce qui était d'autant plus remarquable que les ouvriers de ce temps-là portaient presque tous la blouse, même le dimanche. Il était alors ouvrier brossier ; la poésie n'était pour lui qu'une distraction, bien qu'il l'aimât passionnément ; jamais il n'avait fait imprimer une ligne. Il mettait en couplets les sujets les plus variés, mais pas de chanson sans une pointe politique; on sentait qu'il y avait là une nature, un tempérament de vrai chansonnier populaire. Une seule chanson de lui avait été livrée au public, mais sans son consentement, ce qui ne l'empêchait pas d'être chantée partout ; elle se nommait la Petite Javotte - En 1849, Leroy publia lui-même, n'ayant pas trouvé d'éditeur, Le Bal et la Guillotine. Le parquet de M. Bonaparte ne trouva pas l'oeuvre de son goût et condamna son auteur, en cour d'assises, à 300 fr. d'amende et six mois de prison, qu'il fit aux Madelonnettes. Cette chanson n'a jamais été réimprimée. Gustave Leroy était d'une nature très-douce et aussi inoffensive que ses vers étaient rugueux. L'homme était même chez lui très-faible, facile à entraîner. Ses chansons, malgré leur popularité, ne l'ont pas empêché de vivre continuellement dans un état voisin de la misère. Il avait perdu le goût du travail bien qu'il eût pour compagne une courageuse femme dont l'exemple pouvait le sauver. Ah ! l'habit noir de 1843, qu'il était loin ! Il avait fait place à la vareuse d'abord grise, puis rousse, puis d'une couleur inconnue qu'il portait l'hiver et l'été depuis plus de dix ans quand il mourut. Leroy, sans avoir reçu une instruction soignée, avait cependant été partagé de ce côté mieux que la plupart des enfants du peuple. Sa mère qui avait été longtemps employée dans les théâtres, avait pour amie Mme Saqui, la célèbre danseuse de corde. Cette dernière se chargea de faire élever le jeune Gustave, qui n'a jamais eu de père légal ; il fut mis en pension à Versailles où il resta jusqu'à l'âge de seize ans. En vieillissant, le chansonnier avait épuré son style et modifié sa forme ; ses dernières chansons sont mieux écrites que leurs aînées, la phrase est plus correcte, plus claire, l'écrivain se révélait. Recueillera-t-on jamais les oeuvres de Gustave Leroy ? c'est peu probable. Il a bien écrit quatre cents chansons. Pingray, un membre de la Lice Chansonnière, en a réuni plus de deux cents et s'en est fait un beau volume qui sera très-recherché un jour. Gustave Leroy mourut à l'hôpital Saint-Louis le 14 avril 1860, des suites d'une chute qu'il fit dans une maison en construction. La rampe de l'escalier n'était pas encore posée ; il monta au deuxième étage, et, pour appeler un ami qui travaillait aux étages supérieurs, il se fit un porte-voix de ses deux mains en levant la tête ; puis, pris d'un étourdissement subit, il tomba dans la cour. On le transporta chez lui, où il resta plusieurs jours. Il souffrait peu, mais le médecin déclara qu'il était en danger, et on le conduisit à l'hôpital où il resta près d'un.
Published by privately printed, Paris, 1962
Seller: Cole & Contreras / Sylvan Cole Gallery, Sitges, BCN, Spain
First Edition Signed
FIRST EDITION of this collection of poems written between Christmas 1944 and March 1945 by Gustave Leroy while an inmate at the Nazi slave camp Dora. 124 pp. 25 poems printed as facsimiles of the author's manuscripts, with facing-page commentary. From a total edition of 300 numbered copies, this is ONE OF ONLY 125 SPECIAL COPIES, WITH A SIGNED PRESENTATION INSCRIPTION FROM THE AUTHOR TO "JEAN-MICHEL", A FELLOW DORA SURVIVOR. Printed on good wove paper, with no signs of aging. Large 4to. Loose as issued in board chemise and slipcase. FINE AND BRIGHT. Extremely rare and important. sxxi.