Product Type
Condition
Binding
Collectible Attributes
Free Shipping
Seller Location
Seller Rating
Seller: Kunsthandel & Antiquariat Magister Ruß, Lechbruck, Germany
Art / Print / Poster
[Das dekorative Blatt braunfleckig.].
Published by Stuttgart, Verlag W. Kohlhammer., 1932
Seller: Antiquariat an der Stiftskirche, Bad Waldsee, Germany
Book
8° (23x15), X, 227 S., OKart (Brosch), unbeschnitten, sauber und gepflegt, Sprache: Deutsch. * * * * --- due to EPR-Restrictions NO SHIPPING to Bulgaria, Danmark, Greece, Luxembourg, Poland, Romania, Sweden, Slovakia and Spain --- * * * *.
Published by Cassell & Co. Ltd., London, Paris & Melbourne, 1892
Seller: K Books Ltd ABA ILAB, York, YORKS, United Kingdom
Book
No Binding. Condition: Very Good. A fine original photgraphic portrait. From an original photograph by W & D Downey. Mounted and ready to frame. A splended opportunity to purchase a portrait of this eminent personage. THE EX-EMPRESS EUGENIE.
Published by Leipzig, Baumgärtner (ca. 1850)., 1850
Seller: Antiquariat Braun, Gengenbach, Germany
Art / Print / Poster
Condition: Sehr gut. Format (Platte): 237 x 165 mm. Blattgröße: 290 x 225 mm. *Eugenie war die Ehefrau Napoleons III. Sie war die letzte Kaiserin der Franzosen (1853 bis 1870) Sprache: Deutsch Gewicht in Gramm: 100.
Published by Cassell & Co. Ltd., London, Paris & Melbourne, 1892
Seller: K Books Ltd ABA ILAB, York, YORKS, United Kingdom
Book
No Binding. Condition: Very Good. A fine original photgraphic portrait. From an original photograph by W & D Downey. Mounted and ready to frame. A splended opportunity to purchase a portrait of this eminent personage.
Published by Barcelona, Oliveres, um 1855., 1855
Seller: Antiquariat Thomas Rezek, München, Germany
Art / Print / Poster
8°. 1 Blatt verso weiß Kniestück-Portrait, darunter Legende. Zu sehen ist Eugenie de Montijo (1826-1920), als Ehefrau Napoleons III. von 1853 bis 1870 Kaiserin von Frankreich. - Gut erhalten.
Published by Ohne Verlegeradresse wohl 1853., 1853
Seller: Antiquariat Braun, Gengenbach, Germany
Art / Print / Poster
Condition: Gut. Format (Bildoval): 470 x 375 mm. Blattgröße: 560 x 415 mm. *Eugénie de Montijo (geb. 1826 in Granada; gest. 1920 in Madrid) war als Ehefrau Napoléons III. von 1853 bis 1870 Kaiserin der Franzosen und die letzte Monarchin Frankreichs. Sie stammte aus bürgerlicher Herkunft, die romantische Liebesheirat führte noch damals in entsprechenden Kreisen zu Irritationen. Mit ihrer neokonservativen und autoritären Einstellung, mit der sie die Politik von Napoleon III beeinflusste, war sie jedoch beim französischen Volk nicht besonders beliebt, man nannte sie l Espagnole". Mit dem Deutsch-Französischen Krieg endete dann das Kaiserreich der Restauration in Frankreich. Sie lebte danach im Exil in England. - Vorliegend ein ebenso schönes wie seltenes Bildnis der Kaiserin in großem Format, wohl kurz nach der Hochzeit 1853 angefertigt. Der Künstler Emile Lassalle (1813-1871) war ein angesehener französischer Zeichner und Lithograph. - An den vier Ecken in alter Zeit auf Untersatzpapier montiert, gut erhalten. Sprache: Deutsch Gewicht in Gramm: 1000.
Published by Paris, Henneau und Berlin, F. Ebner ca. 1855., 1855
Seller: Antiquariat Braun, Gengenbach, Germany
Art / Print / Poster
Condition: Sehr gut. Format (Bildoval): 375 x 305 mm. Blattgröße: 680 x 520 mm. *Eugénie de Montijo (geb. 1826 in Granada; gest. 1920 in Madrid) war als Ehefrau Napoléons III. von 1853 bis 1870 Kaiserin der Franzosen und die letzte Monarchin Frankreichs. Sie stammte aus bürgerlicher Herkunft, die romantische Liebesheirat führte noch damals in entsprechenden Kreisen zu Irritationen. Mit ihrer neokonservativen und autoritären Einstellung, mit der sie die Politik von Napoleon III beeinflusste, war sie jedoch beim französischen Volk nicht besonders beliebt, man nannte sie l Espagnole". Mit dem Deutsch-Französischen Krieg endete dann das Kaiserreich der Restauration in Frankreich. Sie lebte danach im Exil in England. - Vorliegend ein ebenso schönes wie seltenes Bildnis der Kaiserin in besonders großem Format, wohl kurz nach der Hochzeit 1853 angefertigt. - Sauber und sehr gut erhalten. Sprache: Deutsch Gewicht in Gramm: 1000.
Photograph First Edition
Pas de couverture. Condition: Bon. Edition originale. [EUGÉNIE de Montijo, impératrice] W&D Downey Portrait de l impératrice Eugénie par W&D Downey Tirage albuminé d époque [Londres, c. 1871], format CDV Crédit du photographe au verso, quelques très léger défauts sans importance Élégant portrait de l impératrice, le regard mélancolique On situe ce portrait aux alentours de l année 1871, soit environs un an après l arrivée de la famille impériale au Royaume-Uni, contrainte à l exil après la terrible défaite de Sedan. L impératrice y apparaît en buste, assise de trois quart vers la droite, le regard mélancolique et songeur, un éventail à la main. Tirage peu commun, bon état de conservation.
1 billet autographe signé 1 In-8 [1870] Joli en-tête gaufré "Saint-Cloud" avec chiffres couronnés. Enveloppe jointe. pliures Billet de l'impératrice Eugénie. "Mon cher ministre, je vous envoie monsieur Philon qui doit vous entretenir sur un sujet qui me semble utile à examiner. Croyez à tous mes sentiments. Eugénie". Impératrice des Français (1853-1870), épouse de Napoléon III.
Publication Date: 1873
Manuscript / Paper Collectible First Edition Signed
Pas de couverture. Condition: Bon. Edition originale. MONTIJO, impératrice Eugénie de (1826-1920) Lettre autographe signée « Eugénie » à un destinataire inconnu [Camden Place, Chislehurst], 4 février [18]73, 1 p. 1/2 in-8° sur bifeuillet de deuil à en-tête de la résidence d exil de la famille impériale Ancienne trace de trombone, trace de pliure centrale d époque Émouvante réponse de l impératrice aux condoléances à elle adressées suite à la mort de l empereur Napoléon III, survenue moins d un mois plus tôt « Je suis bien sensible à votre sympathie et aux regrets que vous m exprimez pour celui que nous pleurons et je vous remercie de reporter sur mon fils [le Prince Impérial] l attachement que vous lui aviez voué. Croyez à tous mes sentiments. Eugénie » Le 9 janvier 1873, à 10h45, Napoléon III meurt à l âge de soixante-quatre ans, dans sa résidence de Camden Place. Près de soixante mille personnes, dont un dixième de Français comprenant une délégation d ouvriers conduite par Jules Amigues, viennent se recueillir devant le corps et participent à l inhumation, le 15 janvier 1873, à Chislehurst. Par la suite, sa veuve, Eugénie de Montijo, lui fait construire un mausolée à l abbaye Saint-Michel, qu elle a fondée en 1881. A ce jour, le couple y repose aux côtés de leur fils unique, le prince impérial Louis-Napoléon, tué à l âge de vingt-trois ans lors d une patrouille lors la guerre anglo-zouloue. Provenance : Ancienne collection Jean-Claude Lachnitt. Signé par l'auteur.
Manuscript / Paper Collectible First Edition Signed
Pas de couverture. Condition: Bon. Edition originale. MONTIJO (de), Impératrice Eugénie (1826-1920) Lettre autographe signée « Eugénie » à Marie-Thérèse Bartholoni Farnborough Hill, Hants, 4 novembre 1908, 4 p. in-8°, à l encre noire sur liseré de deuil En-tête à son chiffre orné d une couronne L impératrice exilée s émeut de voir disparaître peu à peu les anciens fidèles de l Empire « Chère Madame Bartholoni, Je vous remercie, ainsi que vos enfants, de vos v ux anticipés pour le 15 novembre. Je suis désolée d apprendre que Kiki ne va pas bien ou, pour mieux dire, que tout en étant un peu plus forte, elle ne se lève que quelques heures par jour. A son âge, c est bien triste d être toujours malade. Je n ai pas de photographie de moi-même, mais je vais m en procurer et je m empresserai de vous l envoyer pour votre petit fils, comme vous me la demandez. Le 15 novembre [la Saint Eugénie] n est plus depuis longtemps une fête pour moi et les rangs de ceux qui me la fêtaient autrefois s éclaircissent chaque jour, car la mort fauche tout autour de nous. Nos meilleurs amis disparaissent et, à mon, âge, on ne fait pas de nouvelles connaissances. Nous avons eu un temps splendide mais l hiver va commencer ; les brouillards et le froid ne peuvent tarder, hélas ! J ai eu une lettre de Mme Gastaldi me faisant part du mariage de sa fille avec son beau-frère, dernier v u de la pauvre morte. Mes souvenirs à tous les vôtres et croyez à mes sentiments affectueux. Eugénie » Filleule de Chateaubriand et dame d honneur aux Tuileries de la princesse Julie Bonaparte, Madame Bartholoni (1833-1910) fut, par sa beauté, particulièrement remarquée à la Cour du Second Empire. Née Marie-Thérèse Frisell, elle fut l épouse d Anatole Bartholoni (1822-1902), député au Corps législatif de 1860 à 1869. Madame Bartholoni tint un brillant salon, qui inspira Marcel Proust. L écrivain le fréquenta activement au cours des années 1897-1899, et fut également l hôte du château de Coudrée, que les Bartholoni possédaient sur les bords du Lac Léman, entre Thonon-les-Bains et Genève. La conversation spirituelle de l ancienne « belle de l Empire » paraît l avoir fortement inspiré. Marcel Proust courtisa, un temps, une des trois filles de Madame Bartholoni, Louise dite « Kiki » (1857-1933), filleule de l impératrice Eugénie. Lettre inédite. Signé par l'auteur.
First Edition Signed
1 lettre autographe signée 2 pp. 1/2 In-8 "10 juin" [1890] Encre noire sur feuillet double de papier bleu de deuil. Adresse imprimée en tête "Farnborough Hill [.] Hants". Bon. Minime déchirure au pli central (0,5 cm) À son retour de Wiesbaden,Eugénie atrouvé le dernier ouvrage d'Octave Feuillet,"Honneur d'artiste", dans sa demeure de Farnborough Hill. Elle leremercie de cet envoi et se ditcharmée par sa lecture. "[.] Vous êtes accoutumé au succès mais je me réjouis particulièrement pour vous de celui-ci. Il vous encourage à le continuer et vous y trouverez ainsi l'oubli ou tout au moinsdes adoucissementsà la douleur qui a déchiré votre coeur. J'associe dans cette pensée Madame Feuillet à laquelle j'envoie mes meilleurs souvenirs avec mes sentiments affectueux pour vous. Eugénie". Le fameux exemplaire de l'édition originale d'Honneur d'artiste(Paris, Calmann Lévy, 1890, in-12), offert par Feuillet à l'Impératricefutrelié à l'époque endemi-veau bleu à coins, dos orné, pièce rougeettranches jaspées. Des 40 exemplaires de tête sur japon impérial, Feuillet lui envoya le numéro 1, preuve de leur grand attachement. Ce fut son dernier ouvrage : ilmourut six mois plus tard. Impératrice des Français (1853-1870), épouse de Napoléon III.
1 Billet autographe signé 1 p. In-12 2 novembre 1879 Encre brune. Feuillet double de papier vergé de deuil. Chiffre "N" couronné gaufré à froid en tête. Cartes de deuil de papier fort. Bon. Trace de colle au verso d'une carte. Sur un papier de deuil au N couronné, l'impératrice Eugénie écrit ces quelques mots en souvenir de la mort du Prince Impérial :"Souvenir du 1er juin 1879 ! Eugénie. 2 nov[em]bre 1879". Billet accompagné de deux émouvantsmementos (différents) avec photographies du Prince Impérial contrecollées : "A la Mémoire du Prince Impérial Napoleon-Eugène-Louis-Jean-Joseph. Passavant le meillor. Sursum Corda. Né le 16 mars 1856 Baptisé le 16 Juin 1856 Tué le 1er Juin 1879 à l'ennemi en Zululand (Afrique). Priez Dieu pour lui ! [.]". Impératrice des Français (1853-1870), épouse de Napoléon III.
Publication Date: 1875
Manuscript / Paper Collectible First Edition Signed
Pas de couverture. Condition: Bon. Edition originale. MONTIJO (de), Impératrice Eugénie (1826-1920) Lettre autographe signée « Eugénie » à Hortense Cornu [Camden Place, Chislehurst] 13 janvier [1875], 8 pp. in-8°, liseré de deuil Quelques infimes décharges d encre, sinon parfait état de conservation Longue et importante lettre de l impératrice, écrite quatre jours après le deuxième anniversaire de la mort de Napoléon III Elle évoque avec douleur l exhumation de la dépouille de l empereur pour être placé dans le sarcophage en granit rouge d Aberdeen, offert par la reine Victoria « Ma chère Madame Cornu, J ai reçu votre lettre et je vois que votre pensée était près de nous le 9 janvier [date anniversaire de la mort de l empereur]. C est le privilège de l empereur d émouvoir par sa pensée ; en effet partout cet anniversaire a repris un caractère d actualité et chacun pensait qu il devait plus qu un souvenir à cette grande mémoire. Nous avons eu, ici, une cérémonie bien touchante, il a été porté dans le sarcophage que la Reine [Victoria] a fait faire pour lui ; j ai assisté cachée à tous, et je puis vous assurer qu en le voyant enlever il me semblait qu on m arrachait le c ur ; est-ce sa dernière demeure ? Je ne puis le croire, mais il me semble que je ne pourrai jamais rentrer sans lui ! Quand j étais en France je me souviens d avoir dit l Empereur, je ne me sens étrangère que le jour des morts, tout ce que j aime, grâce à Dieu vit, et ce jour où chacun va retrouver les morts je m aperçois que je n ai rien sous terre . Aujourd hui, au contraire, si je devais rentrer en France sans lui, je serais étrangère toujours ! Quelle singulière destinée qui fait que les c urs les plus français, les Napoléons, doivent tous jusqu à présent être déposés dans un cercueil étranger, deux anglais ! et un autrichien ! Je ne puis hélas vous parler d autre chose aujourd hui. Mon fils [le Prince Impérial] continue à travailler. Dieu veuille qu on lui laisse finir ses études, je ne crains rien tant que les agitations stériles ; tout semble préparer son avenir ! Mais quelle tâche difficile il a devant lui ! Quand le peuple comprendra-t-il la différence qu il y a entre ceux qui l aiment et ceux qui l exploitent ! Mon pauvre et cher Empereur s est usé à la peine, et jamais on ne devinera les secrètes douleurs de ce martyr de trois ans ! Seul, il proposait cette émanation divine, le pardon des injures, et Dieu seul sait à quelles dures épreuves il a été soumis. Ma santé est assez bonne mais je ne puis me décider à sortir, les journées passent assez vite. Mon fils vous envoie tous ses souvenirs d amitié et croyez-bien à tous mes sentiments affectueux. Eugénie Avez-vous lu ma lettre à l Évêque de Troyes ? » L amitié sincère qui liait la reine Victoria et le couple impérial naît en 1855 lors de l alliance entre la Grande Bretagne et la France contre la Russie, pendant la guerre de Crimée. Cette amitié résistera au temps et aux vicissitudes de la politique étrangère française, qui conduisirent le couple impérial à trouver l exil en Angleterre après la chute du Second Empire, en septembre 1870. Dans un ultime hommage au défunt empereur, Victoria fait transférer sa dépouille dans un sarcophage en granit rouge d Aberdeen, où il repose encore aujourd hui. À la lecture de cette missive, Eugénie, n a semble-t-il pas pu retenir son émotion, « cachée [de] tous ». Eugénie évoque en fin de lettre son fils le Prince Impérial qui, en janvier 1875, quitte l École de Woolwich avec le grade d officier de l armée britannique. Trois ans plus tard, pour lutter contre la monotonie de l exil et faire la preuve de ses talents militaires, il s engage, en dépit de la résistance de sa mère, dans les rangs de l armée anglaise. Il se rend en Afrique australe pour y réprimer une révolte des Zoulous, avant de succomber dans un guet-apens, sous leurs flèches, le 1er juin 1879. Signé par l'auteur.
Published by Camden Place, Chistlehurst, 8. II. 1873., 1873
Seller: Antiquariat INLIBRIS Gilhofer Nfg. GmbH, Vienna, A, Austria
Manuscript / Paper Collectible
8vo. 6 pp. on bifolia. Beautiful letter to the wife of a Marshal of France, possibly Pepita de la Peña y Azcarate, the Mexican wife of François Achille Bazaine, to thank her and her husband for condolences following the death of Napoleon III on 9 January 1873: "J'ai reçu, Madame et chère Maréchale, la lettre que vous m'avez écrite ainsi que celle du Maréchal. Je vous prierai d'être auprès de lui mon interprète dans cette triste circonstance. La douleur qu'il a plu à Dieu de nous envoyer serait au-dessus de nos forces, s'il ne nous regardait avec miséricorde et ne nous accordait la résignation si difficile à atteindre ! - Ma seule consolation est de voir dans les regrets immenses inspirés par la mort de l'Empereur un juste hommage à la mémoire de celui à qui aucune douleur morale et physique n'a été épargné ! Mon fils et moi n'oublierons jamais les jours qui viennent de s'écouler. Le vide immense qui s'est fait dans notre maison ne peut être comblé ; il ne nous reste plus qu'à prier et à nous incliner devant les décrets de sa providence. Croyez Madame la Maréchale [.]". Three of the Marshals of France appointed by Napoleon III until 1870 were still alive in 1873. Of the three, François Achille Bazaine (1811-88), who served as commander-in-chief in the wake of the Emperor's surrender and capture in Sedan, was most loyal to the Imperial family and had remained in contact with Empress Eugénie following her escape from Paris in 1870, apparently in an attempt to overthrow the Government of National Defence and restore the second Empire. In consequence, Bazaine was tried for treason and sentenced to military degradation, an enormous fine, and twenty years' imprisonment. On 10 August 1874 Bazaine escaped from the Fort Royal, the only prisoner ever to do so, and fled to London. - Alternately, Bazaine's rival Edmond Le B uf, who had served as the Emperor's aide-de-camp from 1866, could be the Marshal of France in question. - On mourning paper with embossed letterhead.
Published by Compiègne, 13. XI. 1862., 1862
Seller: Antiquariat INLIBRIS Gilhofer Nfg. GmbH, Vienna, A, Austria
Manuscript / Paper Collectible
4to. 7½ pp. on bifolia. In French. Important letter to the lawyer, magistrate, and later police chief of Paris, Joseph Marie Piétri, in which she states her political convictions. Apparently, Piétri had challenged Eugénie to position herself politically, pointing to the possibility of a regency for her then five-year-old son Prince Louis-Napoléon. Although she declares herself to be "generally removed from politics, as much by taste as by calculation", the current debates of "many contrary ideas" did not go unnoticed. It seems that Piétri, who would earn a reputation as a repressive chief of police, expressed his concerns about liberal tendencies. Eugénie, who is known for her conservative and neoabsolutist politics, remains somewhat vague and prefers to speak of the Emperor, who "has too much righteousness in his heart and too much knowledge of his worth to lean either to the right or to the left". She refuses to comment on a quote by Emperor Napoleon I, even if she is aware "of many others that might cancel it out", and declares her determination "not to go into the substance" of Piétri's original letter. Concerning the core issue of a potential regency, she does make a clear statement: "You fear for the future if, for the misfortune of all of us, a regency, even temporary, were to be necessary; the state of mind worries you. For me, it reassures me because in spite of the noise that one wanted to make around my name, in spite of the opposition to liberal ideas that I would be obliged to make; to what you tell me, I never received a more sympathetic reception of the population than this year. I know that it is only the reflection of the Emperor, but all over the world there are opponents and even pretenders who have never felt this fluidity that exists between the people and those who love them; without however flattering their passions and their bad instincts. From the day of my marriage I have thought only of this country". She even goes on to scold Piétri for questioning her convictions and issues a warning concerning his own integrity: "Besides, to reproach me for my opinions, would it be necessary to know them? In which forum did I make my voice heard? Which newspaper is animated by my thoughts? The freedom that is granted to all, that of thought, with what right do they want to take it from me? Believe me, let your devotion not be so quickly alarmed and fear rather that traditions, sympathies perhaps too foreign, will prevent you from judging things and especially men". - In closing, Eugénie mentions her son and what she wants to pass on to him: "My son will be brought up with the idea that there is no sacrifice that should cost him [too much] for the happiness of his country, and that in the profession of sovereign he will find more thorns than roses and I hope that he will adopt his grandfather's motto 'do what you must, come what may'; esteem of honest people, fortune will do the rest and all my wishes will be fulfilled". - Joseph Marie Piétri (1820-1902) was a Corsican Bonapartist who served as prefect of various departments between 1853 and 1866, when he was appointed chief of the Parisian Police, a post previously held by his brother Pierre Marie, who had resigned following the attempt on Napoleon's life in 1858. On 4 September 1870, Joseph Marie Piétri hastily left France and followed Napoleon III into exile. From 1879 until 1885 he served as senator for Corsica. - On stationery with blindstamped crowned monogram.