Ce livre historique peut contenir de nombreuses coquilles et du texte manquant. Les acheteurs peuvent généralement télécharger une copie gratuite scannée du livre original (sans les coquilles) auprès de l'éditeur. Non référencé. Non illustré. 1845 edition. Extrait: ...dela deuxième translation, en 1096; il aura été copié plus ou moins servilement sur le tombeau érigé dans la vieille crypte par Pallade, celui qu'à décrit le moine de Saint-Cybard présent à la cérémonie, mais voilà tout. D'abord, l'auge massive qui renferme la capse de plomb, n'a pu être creusée dans le troisième siècle. Les tombeaux des chrétiens étaient alors faits dans la forme de ceux des romains que recouvrait une pierre tombale pour les plus simples avec l'ascia symbolique. De plus, les Gaulois se sont servis de l'alphabet grec jusqu'après le deuxième siècle. A Rome même, Gordien et sa famille, martyrisés, avaient sur leur tombeau une épitaphe latine écrite avec des lettres purement grecques. A Lyon, au deuxième siècle, la lettre des fidèles des églises de Lyon et de Vienne, attribuée à St-Irénée et conservée par Eusèhe, lettre adressée aux chrétiens d'Asie et de Phrygie et relative aux quarante-huit martyrs de 177, était écrite en lettres grecques de la plus grande pureté. Le mot Eulropius, place sur le couvercle, n'a que YEta qui soit corrompu, du grec, les autres lettres sont romaines barbares; elles sont mérovingiennes, telles qu'elles étaient adoptées au sixième siècle, ainsi qu'on les retrouve dans les recueils de paléographie. La seule dérogation aux caractères grecs, dans les deuxième et troi sième, est l'emploi des caractères romains, tels que ceux qu'on trouve sur l'arc-de-triomphe de Saintes, et sur les nombreux...
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