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    Paperback. Condition: NEUF. Dans cet ouvrage remarquable, Françoise Gollain apporte une contribution éclairante à la critique du travail. A la suite des travaux de André Gorz, elle conteste au travail son statut de principe organisateur du corps social ; elle montre comment la réduction du temps de travail, le revenu minimum garanti et les pratiques économiques alternatives, en accompagnant la crise de la société salariale, sont susceptibles de remettre en cause les fondements de la société productiviste. Françoise Gollain, sociologue, dirige un enseignement sur la société française à l'université de Nottingham Trent en Grande-Bretagne. - Nombre de page(s) : 262 p. - Poids : 0g - Langue : fre - Genre : Essais de Sociologie Textes à l'appui.

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    Couverture souple. Condition: Très bon. # Broché : 262 pages # Parution : 9 mars 2000 # Collection : Textes à l'appui # Présentation par Business Digest : Historiquement, le travail a été conçu comme l instrument de l entreprise humaine de la domestication de la nature, tout à la fois espoir de libération et fondement d une société nouvelle. Mais selon l auteur, sociologue, l utopie a tourné au cauchemar. Françoise Gollain conteste au travail son statut de principe organisateur du corps social et montre comment les pratiques économiques ou politiques peuvent remettre en cause les fondements de la société productiviste. Le texte est suivi d un entretien inédit avec André Gorz. # Quatrième de couverture : Historiquement, le travail a été conçu comme l'instrument par excellence de l'entreprise humaine de domestication de la nature, tout à la fois espoir de libération et fondement d'une société nouvelle. Il faut pourtant se rendre à l'évidence : l'utopie tourne aujourd'hui au cauchemar. La précarisation accélérée des situations d'emploi, la détérioration sans précédent de l'environnement naturel et, de manière générale, la " marchandisation " croissante de notre vie sociale et culturelle nous incitent à reconsidérer la place et la fonction du travail dans les sociétés contemporaines. Dans cet ouvrage remarquable, Françoise Gollain apporte une contribution éclairante à la critique du travail et de ses avatars post-fordistes. A la suite des travaux d'André Gorz, elle conteste au travail son statut de principe organisateur du corps social. Apportant des éclaircissements utiles sur la question de la " fin du travail ", elle montre comment la réduction du temps de travail, le revenu minimum garanti et les pratiques économiques alternatives, en accompagnant la crise de la société salariale, sont susceptibles de remettre en cause les fondements de la société productiviste et de constituer une issue libératrice aux mutations actuelles.