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    LeatherBound. Condition: New. LeatherBound edition. Condition: New. Reprinted from edition. Leather Binding on Spine and Corners with Golden leaf printing on spine. Bound in genuine leather with Satin ribbon page markers and Spine with raised gilt bands. A perfect gift for your loved ones. NO changes have been made to the original text. This is NOT a retyped or an ocr'd reprint. Illustrations, Index, if any, are included in black and white. Each page is checked manually before printing. As this print on demand book is reprinted from a very old book, there could be some missing or flawed pages, but we always try to make the book as complete as possible. Fold-outs, if any, are not part of the book. If the original book was published in multiple volumes then this reprint is of only one volume, not the whole set. Sewing binding for longer life, where the book block is actually sewn (smythe sewn/section sewn) with thread before binding which results in a more durable type of binding. Pages: 299.

  • LeatherBound. Condition: New. LeatherBound edition. Condition: New. Reprinted from edition. Leather Binding on Spine and Corners with Golden leaf printing on spine. Bound in genuine leather with Satin ribbon page markers and Spine with raised gilt bands. A perfect gift for your loved ones. NO changes have been made to the original text. This is NOT a retyped or an ocr'd reprint. Illustrations, Index, if any, are included in black and white. Each page is checked manually before printing. As this print on demand book is reprinted from a very old book, there could be some missing or flawed pages, but we always try to make the book as complete as possible. Fold-outs, if any, are not part of the book. If the original book was published in multiple volumes then this reprint is of only one volume, not the whole set. Sewing binding for longer life, where the book block is actually sewn (smythe sewn/section sewn) with thread before binding which results in a more durable type of binding. Pages: 379.

  • Chambord, Henri Bourbon Comte de.

    Published by Bruxelles, Decq., 1859

    Seller: Manfred Nosbuesch, Kuchenheim, Germany

    Association Member: ILAB VDA

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    LXXXIX, 221pp. Original printed wrappers. Uncut. - Small loss to corner of front wrapper else very good.

  • Henri de Bourbon Chambord, comte de.

    Published by (Paris) : Rue de Sorbonne, (s.d, 1848

    Seller: PRISCA, Paris, France

    Seller Rating: 4-star rating, Learn more about seller ratings

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    Couverture souple. Condition: Très bon. Edition originale. In-8° broché, 4 pages. Henri d'Artois, petit-fils de France, duc de Bordeaux, est un prince de la famille royale de France, membre de la maison capétienne de Bourbon, plus connu sous son titre de courtoisie de « comte de Chambord », né le 29 septembre 1820 au palais des Tuileries à Paris, et mort le 24 août 1883 au château de Frohsdorf à Lanzenkirchen en Autriche. Petit-fils du roi Charles X, chef et dernier représentant de la branche aînée et française de la maison de Bourbon, il est prétendant à la Couronne de France de 1844 à sa mort sous le nom d'Henri V. En février 1848, la Révolution éclate ; Louis-Philippe abdique le 24 ; la République est proclamée. Le « comte de Chambord » voit dans la chute des Orléans un juste châtiment, mais s'interdit toute manifestation publique de joie. Le prince Louis-Napoléon Bonaparte est élu président de la République en décembre 1848. Cependant, en mai 1849, les élections portent une majorité monarchiste à l'Assemblée nationale. Le prince-président entre bientôt en conflit avec elle. Par le coup d'État du 2 décembre 1851, il conserve le pouvoir et, en octobre 1852, laisse entendre le prochain rétablissement de l'Empire. Henri d'Artois intervient alors par un manifeste daté du 25 octobre 1852, dans lequel il déclare : « Le génie et la gloire de Napoléon n'ont pu suffire à fonder rien de stable ; son nom et son souvenir y suffiraient bien moins encore. On ne rétablit pas la sécurité en ébranlant le principe sur lequel repose le trône [.]. La monarchie en France, c'est la maison royale de France indissolublement unie à la nation. [.] Je maintiens donc mon droit qui est le plus sûr garant des vôtres, et, prenant Dieu à témoin, je déclare à la France et au monde que, fidèle aux lois du royaume et aux traditions de mes aïeux, je conserverai religieusement jusqu'à mon dernier soupir le dépôt de la monarchie héréditaire dont la Providence m'a confié la garde, et qui est l'unique port de salut où, après tant d'orages, cette France, objet de tout mon amour, pourra retrouver enfin le repos et le bonheur". Aussitôt après avoir signé ce manifeste, le prince Henri précise à ses partisans la ligne de conduite qu'il attend d'eux, si l'Empire se rétablit : ils ne devront pas participer à la vie publique, s'abstenir de voter et de se présenter à des mandats électifs. Dès juin 1848, il a pris l'initiative d'un premier geste de réconciliation avec la famille d'Orléans. En 1850, à la mort de Louis-Philippe, il fait célébrer une messe à la mémoire du défunt et écrit à sa veuve, la reine Marie-Amélie. Des démarches sont accomplies entre les deux familles, mais leur union ne se réalise pas.

  • Seller image for COPIE du MANIFESTE DU COMTE DE CHAMBORD. for sale by Jean-Paul TIVILLIER

    Copie d'époque de ce premier manifeste publié dans le Moniteur Universel le 15 novembre 1852 (écrit en réaction au coup d'État du 2 décembre 1851) - Double feuillet (30x20 cm) manuscrit sur 3 pages. Pliures horizontales. Papier ivoire un peu froissé et roussi. Bon état général. "Français ! En présence des épreuves de ma patrie, je me suis volontairement condamné à l'inaction et au silence. Je ne me pardonnerais pas d'avoir pu, un seul moment, aggraver ses embarras et ses périls. Séparé de la France, elle m'est chère et sacrée autant et plus encore que si je ne l'avais jamais quittée. J'ignore s'il me sera donné de servir un jour mon pays, mais je suis bien sûr qu'il n'aura pas à me reprocher une parole, une démarche, qui puisse porter la moindre atteinte à sa prospérité et à son repos. C'est son honneur comme le mien, c'est le soin de son avenir, c'est mon devoir envers lui qui me décident à élever aujourd'hui la voix. Français, vous voulez la monarchie : vous avez reconnu qu'elle seule peut vous rendre, avec un gouvernement régulier et stable, cette sécurité de tous les droits, cette garantie de tous les intérêts, cet accord permanent d'une autorité forte et d'une sage liberté, qui fondent et assurent le bonheur des nations. Ne vous livrez pas à des illusions qui tôt ou tard vous seraient funestes. Le nouvel empire qu'on vous propose ne saurait être cette monarchie tempérée et durable, dont vous attendez tous ces biens. On se trompe et on vous trompe, quand on vous les promet en son nom. La monarchie véritable, la monarchie traditionnelle, appuyée sur le droit héréditaire et consacrée par le temps, peut seule vous remettre en possession de ces précieux avantages et vous en faire jouir à jamais. Le Génie et la gloire de Napoléon n'ont pû suffire à fonder rien de stable; son nom et son souvenir y suffiraient bien moins encore. On ne rétablit pas la sécurité en ébranlant le principe sur lequel repose le trône, et on ne consolide pas tous les droits en méconnaissant celui qui est parmi nous la base nécessaire de l'ordre monarchique. La monarchie en France, c'est la maison Royale de France, indissolublement unie à la nation. Mes pères et les vôtres ont traversé les siècles, travaillant de concert, selon les moeurs et les besoins du temps, au développement de notre belle patrie. Pendant quatorze cents ans, seuls entre tous les peuples de l'Europe, les Français ont toujours eu à leur tête des princes de leur nation et de leur sang! L'histoire de mes ancêtres est l'histoire de la grandeur progressive de la France, et c'est encore la monarchie qui l'a dotée de cette conquête d'Alger, si riche d'avenir, si riche déjà par les hautes renommées militaires qu'elle a créées et dont la gloire s'ajoute à toutes vos gloires. Quels que soient sur vous et sur moi les desseins de Dieu, resté chef de l'antique race de vos rois, héritier de cette longue suite de monarques qui durant tant de siècles ont incessamment accru et fait respecter la puissance et la fortune de la France, je me dois à moi-même, je dois à ma famille et à ma patrie, de protester hautement contre des combinaisons mensongères et pleines de dangers. Je maintiens donc mon droit, qui est le plus sûr garant des vôtres, et prenant Dieu à témoin, je déclare à la France et au monde, que fidèle aux lois du royaume et aux traditions de mes aïeux, je conserverai religieusement jusqu'au dernier soupir le dépôt de la monarchie héréditaire dont la providence m'a confié la garde, et qui est l'unique port de salut où, après tant d'orages, cette France, objet de tout notre amour, pourra retrouver enfin le repos et le bonheur! Henry. Frohsdorf, le 25 8bre 1852". Français Vieux papiers.

  • [Frohsdorf], s.e., 1852 ; in-8, 4 pp., 1 feuillet plié en deux. Belle pièce autographe, signée "Henry", du premier manifeste du Comte de Chambord, appelé également Henri V, ou Henri d'Artois : "Français ! En présence des épreuves de ma patrie, je me suis volontairement condamné à l'inaction et au silence. Je ne me pardonnerais pas d'avoir pu, un seul moment, aggraver ses embarras et ses périls. Séparé de la France, elle m'est chère et sacrée autant et plus encore que si je ne l'avais jamais quittée. J'ignore s'il me sera donné de servir un jour mon pays, mais je suis bien sûr qu'il n'aura pas à me reprocher une parole, une démarche qui puisse porter la moindre atteinte à sa prospérité et à son repos. C'est son honneur comme le mien, c'est le soin de son avenir, c'est mon devoir envers lui, qui me décident à élever aujourd'hui la voix. Français, vous voulez la monarchie : vous avez reconnu qu'elle seule peut vous rendre avec un gouvernement régulier et stable cette sécurité, de tous les droits, cette garantie de tous les instants, cet accord permanent d'une sage liberté, qui fondent et assurent le bonheur des nations. Ne vous livrez pas à des illusions qui tôt ou tard vous seraient funestes. Le nouvel empire qu'on vous propose ne saurait être cette monarchie tempérée et durable, dont vous attendez tous ces biens. On se trompe et on vous trompe, quand on vous les promet en son nom. La monarchie véritable, la monarchie traditionnelle, appuyée sur le droit héréditaire et consacrée par le temps, peut seule vous remettre en possession de ces précieux avantages et vous en faire jouir à jamais. Le génie et la gloire de Napoléon n'ont pu suffire à fonder rien de notable, son nom et son souvenir y suffiraient bien moins encore. On ne rétablit pas la sécurité en ébranlant le principe sur lequel repose le trône, et on ne consolide pas tous les droits en méconnaissant celui qui est parmi nous la base nécessaire de l'ordre monarchique. La monarchie en France, c'est la maison royale de France, indissolublement unie à la nation. Mes pères et les vôtres ont traversé les siècles, travaillant de concert, selon les m?urs et les besoins du temps, au développement de notre belle patrie. Pendant quatorze cents ans, seuls entre tous les peuples de l'Europe, les Français ont toujours eu à leur tête des princes de leur sang. L'histoire de mes ancêtres est l'histoire de la grandeur progressive de la France, et c'est encore la monarchie qui l'a dotée de cette conquête d'Alger, si riche d'avenir, si riche déjà par les hautes renommées militaires qu'elle a créées et dont la gloire s'ajoute à toutes vos gloires. Quels que soient sur vous et sur moi les desseins de Dieu, resté chef de l'antique race de vos rois, héritier de cette longue suite de monarques qui durant tant de siècles ont incessamment accru et fait respecter la puissance et la fortune de la France, je me dois à moi-même, je dois à ma famille et à ma patrie, de protester hautement contre des combinaisons mensongères et pleines de dangers. Je maintiens donc mon droit, qui est le plus sûr garant des vôtres, et prenant Dieu à témoin, je déclare à la France et au monde que, fidèle aux lois du royaume et aux traditions de mes aïeux, je conserverai religieusement jusqu'au dernier soupir le dépôt de la monarchie héréditaire dont la Providence m'a confié la garde, et qui est l'unique port de salut où, après tant d'orages, cette France, objet de tout mon amour, pourra retrouver enfin le repos et le bonheur. Henry. Frohsdorf, 25 octobre 1852". Ce manifeste fut publié dans le Moniteur universel, le 15 novembre 1852 ; il fut écrit en réaction au coup d'État du 2 décembre 1851. Beau document. 1852.