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  • 2 pp. in-folio. « Au Port-au Prince, le 4 fructidor an 11. N° 643 St Domingue. P.C.E Parade, chef d'administration de la Marine, sous préfet colonial du département de. Au citoyen général en chef. Citoyen général en chef, j'ai eu l'honneur de recevoir votre dépèche du 18 thermidor dernier, au sujet des intérêts et de la guildive du vice amiral Latouche Tréville. Il n'a rien été statué contre le vice amiral ; j'ai tout suspendu, malgré les poursuites de son adversaire et j'ai voulu provoquer un arrangement utile aux deux parties, les circonstances seules en ont arrêté l'effet et tout demeure in statu quo Mr de Latouche reste donc dans la même possesion. Agréez mon profod respect. Parade ». (20,5X33).

  • 2 pp. in-folio. « au Port-au Prince 5 fructidor an 11. N°------ /copié/St Domingue. P.C.E Parade chef de l'administration de la marine. Sous préfet colonial du département de l'Artibonite au citoyen Magnytot Préfet colonial. Citoyen préfet. D'après la lettre dont vous m'avez honoré le 22 thermidor dernier, j'ai annoncé au C Manard, cap. de Vau. et du port que vous aviez agrée sa démission : il a pris des ce jour le commandement de la rade. Il m'a désigné le C fanto Domingo provisoirement dans les fonctions de (?).

  • 2 pp. in-folio. « Au Port-au Prince, le 6 thermidor an 11. 25 juillet 1803. St Domingue. P.C.E Parade, chef d'administration de la Marine, sous préfet colonial du département de l'Artibonite à son Excellence Monsieur l'amiral Duckworth chevalier de l'ordre du bain Commandant en chef les forces navales de sa Majesté Britannique à la Jamaïque. Monsieur l'Amiral. Deux députés choisis par le commerce de cette ville sous l'approbation du général Lavalette Commandant la Dividion de l'Artibonite, se rendent à la Jamaïque à l'effet de traiter avec les négociants de cette isle des moyens d'envoyer des bâtimens chargés de vivres pour la consommation de la population de la ville du Port-au Prince. Ces députés sont Messieurs Guyeu et ----Girale négociants probes et recommandables de cette ville. Ils sont porteurs de paquets pour son Excellence le gouverneur de la Jamaïque, qui contiennent les motifs qui ont nécessité cette mesure ; ces motifs ne vous sont pas inconnus. C'est notre détresse causée par la famine qui nous menace, et par l'imossibilité d'y obvier par les productions de l'intérieur de la colonie dont les brigands sont Maîtres: En attendant le succès de la mission dont j'ai l'honneur de vous prévenir, je prie votre excellence, au nom des habitants de cette dépendance qui invoquent votre humanité et votre bienfaisance, de vouloir bien user des moyens qui sont en votre pouvoir pour alimenter ou faire alimenter une population de plus de douze mille ames qui n'a de ressource que dans vos secours et dans ceux du gouvernement de la Jamaïque. Je prie votre excellence d'agréer mes respectueuses salutaions. Parade. Par le dous-préfet colonial. Le S. commisaire de navire Dusaulchoy ». Cachet. Des rousseurs.

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    3 pp. in-folio. « au Port-au Prince cinq fructidor an 11. N°654/200. St Domingue. P.C.E Parade chef de l'admistration de la marine. Sous préfet colonial du département de Artibonite au citoyen Magnytot Prefét colonial. Citoyen Préfet. J'ai répondu par ce courrier à vos différentes depeches, mais il me rest à vous faire connoitre au vrai ma position reelle. Sous le rapport des vivres: je manque de tout: depuis avant hier, c'en est fait du pain pour les troupes ; il reste à prévoir suffisamment de farine pour les malades de l'hospital de cette ville dont le nombre est de trois cent soixante à quatre cents-------pour sept jours seulement: plus de biscuits, environ huit millées de cacao point de ----mais pour 15 jours de tafia. Lorsque je reçus au premier de ce mois la remise --------------------------------------------------------------------------: tout était déjà dans un état de pénurie complette ; les magasins des particuliers étoient aussi depourvus que ceux de l'Etat. De sorte que dans la ville il ne me restoit aucune ressource. à l'extérieur : les vivres du pays devaient ------soulagement momentané et cependant il n'en est rien; 1. vous savez que le Port au Prince est bloqué de toutes parts puisque lorsqu'il nous restait quelques betes à cores les noirs venoient nous les enlever, jusques sous le feu des---. 2. ce n'est que les -----à la main qu'on les cueille depuis trois mois et de cette manoeuvre le gaspillage est immense.3. la sécheresse pour ordinaire en cette saison nous prive de l'abondance que nous pouvions esperer ; et abstraction faite de tous les autres inconvénients elle nous constitue dans -----réelle. Le général Rochambeau prétend qu'il y a eu dans les vivres, ou dilapidation ou vol parce qu'à son départ, il en avait -------150 jours a deux mille hommes. Je lui ai répondu et je vous observe qu'à l'époque de son départ mon influence sur l'administration des vivres plus particulièrement confiée à l'administration de la guerre étoit a --------; que son ---rapproché --------des hommes alimentés tant dans cette ville qu'à La Coix-des-Bouquets à Saint-Marc à Léogane et à Jeremie me laisse appercevoir. D'après l'etat des rationnaires que lui envoyé le général Lavalette : me laisse appercevoir, dis je, que fort peu de dipalidations que je n'ai pu decouvrier si ce n'est la vente de quelques barils de farine faite par un citoyen lacour. distribution arrété et comdamné a destirtution, à restitution et à un mois de détention. Aureste le citoyen Colbert ordonnateur de ce département mis aux arrets par le general Sarrazin a eu le ----s'évader il parait d'après ses lettres qu'il va au Cap: dans doute,il s'empressera de justiffier son administration. Les finances ne m'a----- pas plus de ressources. Depuis le départ du Général il n'a été mis à ma disposition que le somme de cinquante mille francs et cette somme à été épuisée dans la première quinzaine de messidor. depuis je suis dans une gêne que rien ne peut ex-------. Il me restait la ressource de L'impot de guerre mais je le conserve pour les farines qui me viendront de l'exterieur. J'ai touché quelques sommes à titre de prêtde la ------------------le produit des ------a pour ainsi dire été nul: comment, daprès cela voulez vous que je -----? ---------------------------------dans laquelle je me vois entrainé. Si j'ai parlé avec franchise c'est que j'ai pour principe de ne jamais trahir le vérité: et l'abandon dans lequel on me laisse sous tous les rapports, me fait soupçonner que vous ne la connaiez pas. J'ai l'honneur de vous présenter mes respects. Signé/ Parade ». (23X37). Pâles rousseurs.

  • [MANUSCRIT - SAINT-DOMINGUE] PARADE (P.-C.-E.)

    Published by Port-au-Prince, 1803, 1803

    Seller: Librairie Historique F. Teissèdre, PARIS, France

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    5 pièces in-folio, écritures fines et lisibles, quelques biffures et ratures, en feuilles. Très intéressante correspondance active de Parades, chef d'administration de la marine et sous-préfet colonial du département de l'Artibonite, au cours de la dernière phase de la malheureuse Expédition de Saint-Domingue, qui devait aboutir au rembarquement des troupes françaises.I. Du 25 juillet 1803, adressée à l'amiral John Thomas Duckworth (1747-1817), commandant en chef les forces navales britanniques, sur les besoins en approvisionnement de la ville de Port-au-Prince soumise au blocus anglais.II. Du 4 fructidor an XI [22 août 1803] au général en chef [Donatien-Marie-Joseph de Rochambeau, 1755-1813], sur un différend privé impliquant le vice-amiral Louis-René-Madeleine de Latouche-Tréville (1745-1804).III. Du 5 fructidor an XI [23 août 1803], au préfet colonial, sur divers manquements maritimes.IV. -V. Du 5 fructidor an XI, à Louis Taupin de Magnytot (1757-1823, ancien préfet de la Manche, puis préfet colonial de Tobago, préfet colonial de Saint-Domingue du 14 juin au 14 novembre 1803), sur la question des vivres.